Le voyage

Oui mais voilà ! A l’enregistrement des bagages, cela se complique ! Tout d’abord, le film autour des sacoches n’est plus conforme suite à une modification des exigences des aéroports, il faut donc, en payant bien sûr, les faire « re-filmer ».

Ensuite, difficile d’avoir le coût du transport des vélos, et si ce n’est pas payé, impossible d’avoir les cartes d’embarquement. Après moult coups de téléphone de la part d’Air France, nous pouvons régler notre dû mais, malgré tout, les cartes d’embarquement pour la deuxième partie du voyage refusent obstinément de s’imprimer ! Il faudra le faire à l’aéroport Charles de Gaulle. Merci à cette employée d’Air France de Marseille qui nous a accompagnés durant toutes ces pérégrinations.

Pourquoi problème ? Parce qu’un typhon (c’est le nom donné à l’ouragan en Asie) frappait la région et aurait pu perturber l’arrivée. Finalement il était passé cette nuit et seules ses traces étaient encore visibles lorsque notre taxi nous a conduit à notre hôtel : arbres arrachés, boue dans les rues, toujours de la pluie et, malheureusement, des victimes et de gros dégâts dans le Nord du Vietnam.

Il faut remarquer que, pour une fois, nous n’avons pas eu de soucis pour trouver un taxi à l’aéroport. Il existe des véhicules suffisamment grands pour transporter notre bazar.

Nous voici donc en Asie, au Vietnam. Il y fait chaud, avec des ressentis aux alentours de 35 °, et une atmosphère très humide.

Nous allons vous abandonner et nous pauser deux jours pour récupérer le décalage horaire de 5 heures.